Nous arrivons à Salta en fin d’après-midi. Finalement nous n’aurons qu’une journée et demie
pour visiter Salta. Une journée et demie
de tournage en rond…
Premier soir, nous sommes à la recherche d’un resto, question de manger
un ti-quelque chose. Et bien en cette
journée fériée, il n’y a rien d’ouvert avant 20h00, ni les restos, ni les magasins. On en profite alors pour visiter le centre…
qui est tranquille.
Le lendemain, on se cherche des guichets pour se sortir du liquide… il
y a des files partout, car c’est le lendemain d’une fin de semaine de 4 jours
et surtout, c’est le premier jour ouvrable du mois. Ensuite, on se cherche un
bureau de change pour s’acheter des Pesos chiliens. Pas de chance, il semble interdit d’en vendre
en Argentine (!?). On aura plus de
chance avec l’achat de nos places d’autobus du lendemain. Les 4 places au 2e dans la fenêtre
de devant.
En après-midi, nous montons la colline de Salta par téléférique et
redescendons les 1070 marches à pied. Les
enfants ont bien aimé ce voyage aérien et sont accrochés à la fenêtre et
commentent ce qu’ils voient. Belle vue
d’en haut sur la ville, la vallée et les montagnes.
Après tous ces pas et aussi la chaleur, il vient l’envie de manger une
bonne helado (crème glacée) et nous nous rendons à la suggestion du guide
Routard qui se trouve non loin d’où nous étions… Une bonne adresse qui offrent
de bonnes crèmes à saveur de Sabayon au Marsala, Dulce de leche, Ferrero
Rocher, Orange, Tiramisus, Alfajores (saveur de gâteau au … dulce de leche)… et
bien d’autres que nous nous sommes abstenues de goûter pour ne pas reprendre
tout ce que nous avons perdu.
Avant de quitter Salta, voici quelques observations argentines…
Parcs : À Salta, plusieurs parcs sont munis d’équipements d’entrainement
(aires de jeux pour adultes).
Les coupes de cheveux : En Argentine, contrairement au Guatemala, les femmes font ce qu’elles
veulent avec leurs cheveux. Courts,
longs, mais surtout teint. Quant aux
garçons adolescents, ils portent la coupe « Alex Nevsky »
(anciennement la coupe Yann Perreault ou encore la coupe Longueuil
revisitée). Il y a beaucoup d’asymétrie.
La viande : La viande est la fierté des Argentins. Mais a un moment donné, on cherche autre
chose qu’une assiette avec un morceau de viande pour trois sans
légume ! On commence à trouver en
essayant les mets aux noms plus étranges dans des restos plus populaires (de
travailleurs). On y découvre entre autres l'Albondiquas.
Dulce de leche : Autre met national de l’Argentine (et du Chili), c’est la confiture
de lait ( !) le Dulce de Leche.
C’est quasiment l’unique tartinade au déjeuner et on en retrouve sur
plusieurs desserts. C’est très bon
(demandez à Élodie !), mais on cherche du beurre d’arachide dans les
épiceries et ça n’existe pas ici.
Écarts (suite) : En Argentine, l’heure des repas est vraiment en décalage avec
nous. Nous avons tenté de nous en
approcher, mais souper après 21h30, c’est un peu tard. Par exemple, à l’auberge de Salta, nous
avions accès au souper gratuit, mais il ne débutait pas avant 21h30 ! Quand nous arrivons dans un resto à 20h, on
nous demande presque si on vient pour diner !!! Avant 20h, on n’y pense pas, c’est tout
simplement fermé. Il nous reste moins de
10 jours en Argentine. On n’aura
probablement pas le temps de s’habituer.
Auberge de jeunesse internationale (hostel): Depuis Cafayate nous réservons de HI en HI. Le réseau des Auberges de Jeunesse de
Hostelling international (HI) réserve souvent de belles surprises à coûts
raisonnables (David l’a vécu en Écosse avec Jocelyn). À Cafayate, l’Hostal Ruta 40 était vraiment
bien et chaleureux (malgré le froid…). À Salta, elle était un peu moins
chaleureuse, mais très sympathique quand même avec son look urbain tout en
blanc. Nos deux prochains établissements
seront aussi HI. Ils font la réservation
pour nous.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire